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RACINES LUPÉENNES GÉNÉALOGIE & HISTOIRE du VAL de SEMOUSE au VAL DE SAÔNE

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26 février 2019

Rencontre de Luxeuil les Bains 2008

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30 janvier 2012

UN LUPEEN DANS LES CAMPAGNES NAPOLÉONIENNES

MANGELLE Joseph né le 21 novembre 1789 à Saint Loup Sur Semouse (Date et Lieu de décès inconnu).

Espagne  1810

Saxe          1813

France     1814

Tirailleur au 3éme Régiment de la Jeune Garde, il était titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.

Cette médaille est actuellement possédée par un descendant de Joseph, Monsieur Alain Gauchery.

Magellen

15 juin 2010

Archives Départementales de la Haute Saône

28 janvier 2010

Archives Départementales des Vosges en ligne

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3 janvier 2010

LES FUSILS À L'ÉCOLE_FIN DU XIX ème siècle

LES FUSILS A L’ÉCOLE

Les bataillons scolaires à la fin du XIXème siècle

Un peu d’histoire après la guerre de 1870

Je n’ai pas la prétention d’étudier ni les causes, ni les opérations militaires, ni la fin de cette guerre franco-allemande si meurtrière et si douloureuse. Mais en rappelant brièvement les conséquences du traité de Francfort du 10 mai 1871.

Je veux rappeler les conséquences scolaires dans notre pays, de cette guerre désastreuse.

Pour conclure la paix, il avait fallu abandonner presque tout notre matériel de guerre, subordonner les intérêts de notre commerce à ceux du commerce allemand, payer une indemnité ruineuse de 5 milliards et surtout céder l’Alsace Lorraine (sauf Belfort) ; terres françaises depuis Louis XIV, soit au total 15000 km² et deux millions d’habitants. En 1889, dix années de labeur acharné n’ont pas encore suffi pour rendre à la France son ancienne puissance. Notre nouvelle frontière a été reconstituée et protégée, nos forces militaires sont en état de parer à une agression, mais la dette publique s’est accrue de 12 à 26 milliards. Le budget s’élève à 3 milliards et demi dont plus de 2 milliards sont absorbés par la dette, par les dépenses de la guerre et de la marine militaire.

Une menace de guerre générale plane sur l’Europe depuis 1870, paralyse l’énergie du monde entier et entretient la fièvre des armements.

Les exercices militaires à l’école.

Après le désastre militaire de Sedan (1870) les Républicains se rangent à l’idée que «  le rôle du maître est d’initier le jeune enfant au devoir militaire et au respect de la patrie ».

Les hommes politiques et les chefs militaires conseillent aux enseignants « faites-nous des conscrits vigoureux, patriotes et moralement énergiques ». La loi du 20 janvier 1880 impose les exercices physiques dans les lycées à seule fin de former des citoyens vigoureux.

Le livre de poche du soldat rappelle que le service militaire doit être accompli avec « résolution, entrain, bravoure, dévouement, abnégation, discipline et patriotisme ».

Le 6 juillet 1882, un décret signé par J. GREVY, président de la République et J. FERRY, Ministre de l’Instruction Publique, BILLOT, Ministre de la Guerre et GOBLET, Ministre de l’Intérieur, porte création des bataillons scolaires.

L’institution de ces bataillons se répandra dans toutes les écoles de France et de nombreux décrets et circulaires leur donneront un caractère légal.

Décret du 6 juillet 1882

Article 1er. Tout établissement public d’instruction primaire ou secondaire ou toute réunion d’écoles publiques comptant de deux cents à six cents élèves âgés de douze ans et au dessus pourra, sous le nom de bataillon scolaire, rassembler ses élèves pour les exercices gymnastiques et militaires pendant toute la durée de leur séjour dans tous les établissements d’instruction.

Les écoles privées, ne sont pas oubliées dans le décret.

En effet, l’article 12 précise qu’elles sont autorisées « soit à incorporer leurs élèves dans le bataillon scolaire du canton, soit,  si leur effectif est suffisant, à former des bataillons scolaires distincts… »

L’arrêté du 27 décembre 1882, tenant compte des difficultés rencontrées lorsque les enfants sont réunis en nombre insuffisant pour constituer un bataillon, « il importe de laisser aux établissements scolaires les plus grandes facilités pour donner aux enfants l’instruction dont il s’agit »

Au début, les bataillons scolaires se développeront principalement sur les frontières de l’Est, dans le Territoire de Belfort, les Vosges, le Doubs, la Haute-Saône, la Meurthe et Moselle, la Marne avant de s’étendre à toute la France.

Il s’en est suivi une panoplie de décrets, d’arrêtés, de circulaires, d’instructions qui organisera la bonne marche de cette institution : ainsi résolus, pour les écoles, les problèmes aussi divers de l’encadrement des exercices, des drapeaux, des uniformes, de la tenue des instructeurs, du recrutement et de la révocation éventuelle de ces derniers, des revues militaires, du contrôle médical, de l’inspection générale et principalement de l’armement et des exercices de tir de nos bataillons scolaires. Je me limiterai à ces deux derniers points qui évoqueront davantage la vie dans nos écoles à cette époque.

Armement des Bataillons Scolaires :

Décret du 6 juillet 1882

Article 9 : Le bataillon scolaire ne pourra être armé que par des fusils conformes à un modèle adopté par le Ministre de la Guerre et poinçonné par l’autorité militaire. Ces fusils dont la fabrication sera abandonnée à l’industrie privée, devront présenter les trois conditions suivantes : n’être pas trop lourds pour l’âge des enfants ; comporter tout le mécanisme du fusil de guerre actuel ; n’être pas susceptibles de faire feu, même à courte portée. Ces fusils seront déposés à l’école.

Les types de fusils préconisés vont de la carabine Flobert au fusil de guerre Lebel (circulaires des 27 juillet 1893 et 16 août 1895, Ministre POINCARÉ). Dans les écoles, les exercices militaires se feront souvent avec des fusils en bois de facture plus ou moins élaborée.

Le journal des instituteurs n° 34 d’octobre 1880 signale que « d’après des dispositions arrêtées entre les départements de l’instruction publique et de la Guerre, les établissements scolaires possédant des armes d’un modèle autre que celui fixé pour l’armement de ces établissements peuvent les échanger contre un nombre égal de fusils du dernier modèle en s’adressant directement aux directions d’artillerie »

Enfin «  en vue de donner satisfaction à divers demandes, le Ministre a décidé que les armes employées par les bataillons scolaires pourraient à l’avenir, être munies d’épées-baïonnettes, sous la condition que ces épées, fabriquées soit en acier, soit en toute autre matière, auront leur pointe arrondie ». (Paris, le 25 avril 1883, annexe n°4 du bulletin officiel du Ministre de l’intérieur).

Fusil et Baïonnette Gras de Bataillon Scolaire, Troisième République.

Fusil_Gras

Toujours dans le journal des instituteurs n° 37 d’août 1881, le Président du Conseil, Jules FERRY, annonce dans une lettre aux Recteurs « l’ouverture au budget d’un crédit de un million de francs pour la fabrication des fusils destinés à l’enseignement du tir dans les écoles primaires publiques de garçons. Trois fusils seront donnés à chaque école, deux pour la pratique du tir, un pour la démonstration du mécanisme ». L’envoi en sera fait à l’inspection académique qui se chargera de la répartition aux instituteurs.

Enfin, (journal des instituteurs n° 46 de novembre 1881).

J. FERRY, dans une lettre aux Préfets, annonce la prochaine livraison de ces fusils et informe les municipalités qui désireraient acquérir des fusils d’exercice qu’elles devront s’adresser à l’industrie privée (avec aide possible du Ministre) « dans la limite de ses ressources ». Il rappelle toutefois que « le fusil d’exercice ne doit pas être susceptible de recevoir la cartouche, tout en se rapprochant autant que possible, comme mécanisme, du modèle en usage dans l’armée ; il va sans dire que son poids et ses dimensions seront en rapport avec les forces des enfants qui auront à le manier »

Un arrêté complémentaire (divisé en 10 articles) des Ministres concernés précisera dans son article 1er que les fusils scolaires, destinés aux exercices de tir et mis en service à raison de trois par école, seront ainsi que les munitions, déposés soit dans les casernes de gendarmerie, soit dans les magasins des corps de troupes, suivant les ordres de l’autorité militaire.

(La dépense se monte à 0,009 fr par cartouche à la charge des établissements scolaires). Pourtant une allocation payée par les fonds de l’armement est attribuée à raison de 0,002 fr par cartouche.

L’Union des sociétés de Tir de France « dispose chaque année, en faveur des écoles primaires de garçons, de 90 matériels de tir scolaire, comprenant : la carabine « la Française » et une plaque de tir porte-carton.

(Bulletins de l’Instruction primaire 1902, 1903, 1904, 1905).

Les Exercices Militaires. Le Tir

Préambule, de la circulaire du 16 août 1895, le Ministre de l’Instruction Publique, R. POINCARÉ, développe sur une trentaine de pages une instruction spéciale « qui servira de guide aux instituteurs pour l’installation des stands, choix des armes, mécanisme et règles à observer dans la pratique du tir ». « Messieurs les instituteurs savent qu’ils n’ont pas seulement pour mission de donner aux enfants l’instruction primaire, mais qu’ils ont la charge encore plus haute de préparer pour leur pays de bons citoyens et d’utiles défenseurs.

Le législateur, en les appelants eux-mêmes sous les drapeaux, a voulu qu’ils puissent

Prêcher l’exemple et dire aux enfants ce que l’on doit à sa patrie, et quelle école de devoir et de discipline est l’armée nationale. L’enseignement du tir ayant désormais sa place dans les établissements d’instruction publique, l’instituteur devra s’attacher à faire comprendre à ses élèves quelle importance il y a pour l’armée, et, en même temps, il leur expliquera qu’il y va de leur propre intérêt, puisqu’un bon tireur peut mieux qu’un autre assurer sa sécurité personnelle ».

Tout est prévu dans cette circulaire depuis le choix de l’arme, l’installation du tir (stand, champ de tir, cible, plaque, cartouches), l’instruction du tireur (définitions, précision, réglage, justesse), l’instruction du tireur (ligne de mire, viser, pointer), le port et le maintien de l’arme à l’épaule, l’action du doigt sur la détente, le feu simulé, la pratique du tir, l’exécution des tirs et le contrôle, jusqu’en annexe des détails techniques sur les armes, leurs fonctionnement, entretien, démontage et remontage).

Caisse de garantie contre les accidents de tir

(Bulletin départemental n°10, 1904)

« L’Union des sociétés de tir de France fait connaître au Ministre de l’instruction publique que la Caisse de Garantie contre les accidents de tir, à titre gratuit pour tous les instituteurs ayant organisé le tir dans leurs écoles et prenant par au championnat de tir dans les écoles primaires, n’a subi aucun prélèvement pendant l’année 1903/1904 et que son capital reste fixé à 20 000 francs ». Il est rappelé aux instituteurs qu’il leur suffit, s’ils veulent bénéficier de cette garantie, d’en faire la demande au siège de l’Union.

Uniformes

En ce qui concerne les uniformes des bataillons scolaires, on va assister à une floraison de costumes aussi divers que bizarres, allant de la copie piou-piou des soldats en campagne, à l’exotisme des zouaves en passant par les tenues de petits marin.

Déclin des Bataillons Scolaires

Ces bataillons ne remportent pas un grand succès dans l’enseignement secondaire. Dans les écoles primaires, l’enthousiasme est certain, mais on constate un essoufflement du patriotisme scolaire dont les manifestations ont été d’une grande ferveur jusque vers 1884/1885. Ils sont alors de toutes les parades, de tous les défilés et notamment la grande fête républicaine du 14 juillet, instituée Fête Nationale en 1880.

Le déclin est lié à la crise du boulangisme et à son échec. Mais aussi à d’autres facteurs. Il apparaît à bon nombre qu’initier les enfants à la vie militaire est absurde et que les astreindre à une discipline rigide tendrait plutôt à les en dégoûter. On crie à la parodie d’armée, à la pantalonnade. Les parents se lassent de voir leurs gamins jouer aux soldats. Le clergé par nature antirépublicain, montre son hostilité aux grandes célébrations publiques qui exhibent cette jeunesse costumée et de fait ridiculisent l’armée.

Mais aussi, les instituteurs se lassent et les organisateurs constatent que les enfants ne sont motivés que par le prestige de l’uniforme et le goût de la parade. Cette formation était inefficace, car trop éloignée de l’âge de la conscription. On doute de la valeur éducative de cette institution qui ne correspond plus à l’image que s’en faisaient leurs initiateurs. De plus, l’entretien coûte cher, que se soit pour l’établissement ou plus souvent pour la municipalité, qui finance cet enseignement patriotique. Cette expérience prend fin en 1892.

Exercices_du_Tir                                     

Exercices de Tir                                                                                           

2 septembre 2009

" Ce que j'ai appris avec simplicité, j'en

" Ce que j'ai appris avec simplicité, j'en fait part aux autres sans réserve"

   Saint-Thomas d'Acquin

1 août 2009

Éphémérides

19 juin 2009

CARTES POSTALES DE FRANCE_RACINES LUPÉENNES

27 septembre 2008

RECOMMENCE

Si tu es las et que la route te parait longue,

Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin,

Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps.

                                        Recommence !

Si la vie te semble trop absurde,

Si tu es deçu par trop de choses et de gens,

Ne cherche pas à comprendre pourquoi...

                                        Recommence !

Si tu as essayé d'aimer et d'être utiles,

Si tu as connu la pauvreté et les limites,

Ne laisse pas là, une tâche à moitié faite...

                                         Recommence !

Si les autres te regardent avec reproche,S'ils sont déçus par toi, et irrités,

Ne te révolte pas, ne leur demande rien...

                                          Recommence !

Car l'arbre bourgeonne de nouveau, en oubliant l'hiver,

Car le rameau fleurit, sans demander pourquoi,

Car l'oiseau fait son nid, sans songer à l'automne,

Car la vie est espoir et recommencement.

27 août 2008

Ligne SNCF, Aillevillers- Plombières-les_Bains

27 août 2008

Ligne SNCF- Aillevillers - Port d'Atelier

Quand les trains passaient par Saint Loup sur Semouse

http://ferrovi-est.ifrance.com/pages/retrospective/ai-pa.htm

18 mai 2007

ARCHIVES DE L'ÉTAT CIVIL FRANÇAIS EN ALGÉRIE

4 mai 2007

PERSONNES AYANT MARQUÉS LA VIE DES LUPÉENS

MÉDARD Marie

Artiste Peintre, Écrivain.

° Saint Loup Sur Semouse, 17/11/1887

† Saint Loup Sur Semouse 05/12/1980

D'une famille de tanneurs. Après des études assez poussées de littérature, de peinture et de photographie, elle écrit des ouvrages qui ne paraissent qu'après sa mort. Dessinatrice aux Usines Réunies, où son père est contremaître, elle peint de nombreuses toiles imprégnées de la Haute Saône et du siècle passé.

CORNIBERT Pierre Joseph

(Père Grégoire)

Moine Capucin

° Saint Loup Sur Semouse  13/10/1760

†Vesoul 15/01/1796 (25 nivôse an IV)

Fils de Claude Antoine Cornibert et de Jeanne Claude Ferry.En 1780 il entre au couvent des capucins de Saint-Claude, profès sous le nom de Père Grégoire en 1781,  il est ordonné prêtre en 1786, sous  la Révolution il se retire à la maison des capucins de Vesoul suite à la fermeture du couvent de Saint Claude, puis à la maison de Gray jusqu'au 1/10/1792. Refusant de prêter le serment il est inscrit sur la liste des émigrés le 4/5/1794(15 floréal an II), il ne quitte pas la france , mais se retire à Saint Loup sur semouse, où il exerce clandetisnement le culte. Arrêté à Mersuay, il réussit à s'échapper, il est de nouveau arrêté à La Villedieu- en Fontenette le 11/01/1796. Le 13/01/1796 il comparaît devant le tribunal criminel. Son avocat, Mte Coquillard, lui conseil d'affirmer qu'il a prêté serment de liberté - égalité, ayant réfléchi, il revient sur sa déclaration le lendemain considérant que celle cie équivalait à l'acte, et il se déclare prêt à subir la peine de mort. Il est condamné et exécuter le 15/01/1796 (25 nivôse an IV) devant le palais de justice de Vesoul. <il déclare je suis le premier à étrenner leur guillotine je désire être le dernier>. C'est la seule condamnation à mort prononcée par le tribunal criminel de Haute Saône pour délit d'opinion. Les Vésuliens prirent le deuil et se précipitèrent pour tremper des linges dans le sang de celui qu'ils considéraient comme un martyr.

13 mars 2007

LES VIEUX MÉTIERS

25 février 2007

COMMENT S'APPELLENT LES HABITANTS D' UNE COMMUNE

24 février 2007

QUELQUES PENSÉES

Dieu veut que l'on conserve le souvenir de la parenté et des origines communes, si éloignées quelles soient.

BOSSUET

Il y a une longue raisonance du plus lointain ancêtre au dernier descendant. Mes ancêtres,  je les reproduis

CLEMENCEAU

Le passé nous fait souvenir des gens d'autrefois à qui nous devons ce que nous sommes, a qui nous devons tant d'estime, gens simple, peut-être, mais d'une si grande richesse humaine, bien souvent

E.BLED

Ces papiers, des parchemins laissés là depuis longtemps ne demandaient pas mieux que de revenir au jour. Ces papiers n'étaient pas des papiers, mais des vies d'hommes, de provinces. Tous vivaient et parlaient.

MICHELET

Un oiseau chante d'autant mieux qu'il chante dans son arbre généalogique.

JEAN COCTEAU

11 février 2007

ÉMIGRATION

Liste des bateaux et passagers

http://www.geocities.com/Heartland/5978/Emigration.html

Liste de passagers émigrants vers les USA de 1892 à 1924

http://199.106.235.191//default.asp

Liste des passagers du port de New-York de 1820 à 1892

http://www.castlegarden.org

Liste de passagers pour les traversées de 1864 à 1936, sur les lignes de la Compagnie Générale Transatlantique

http://www.frenchlines.com/passager_index_fr.php

Liste des passagers émigrants au départ des ports français

http://immigrantships.net/departures/france.html

Emigration vers l'Argentine

http://www.guiasolidaria.pccp.net.ar/migrantes/04-cemla.htm

Émigration vers le Bresil

http://www.memorialdoimigrante.sp.gov.br

Émigration Française au Chili

http://membres.lycos.fr/emigrationchili

Émigration vers le Canada

http://www.rootsweb.com/~qcmtl-w/immigration.htm

9 février 2007

Vers Le Portail des Communes de Franche-Comté

6 février 2007

Le Père du Canon de 75 est Lupeen

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